Vous découvrirez dans cet article comment j’ai surmonté le deuil de mon père grâce à une séance de médiumnité imprévue et bouleversante.
A cette époque, je n’avais jamais consulté de médium et je ne croyais pas vraiment à la vie après la mort. Chose qui, comme vous allez le voir, a bien changé depuis…
- Êtes-vous en train de vivre un deuil douloureux ?
- Avez-vous l’impression que votre vie ne sera plus jamais la même sans cette personne ?
- Vous demandez-vous où se trouve l’âme de votre proche défunt ?
- Est-il bien arrivé là-haut ? Est-ce lui qui vous envoie des signes ou est-ce des coïncidences ?
Voilà tout un tas de questions que je me suis aussi posée après le décès de mon père et auxquelles j’ai obtenu des réponses.
C’est en effet lorsque vous perdez une personne proche que vous comprenez la douleur et comment cette douleur peut affecter votre quotidien.
Perdre un être cher est comme perdre une partie de vous-même, c’est voir vos projets ou votre monde s’écrouler… c’est ressentir une peine inconsolable, un coeur profondément triste et rempli de regrets.
Vous avez l’impression de vivre un mauvais rêve mais la réalité est là, votre proche est parti et ne reviendra plus. Vous n’entendrez plus le son de sa voix, ni son rire, vous ne recevrez plus ses coups de fil…
Le temps fait les choses mais votre peine est toujours là. Il ne se passe pas un jour où vous ne pensez à cet être perdu, ses dernières paroles, son dernier regard, son dernier sourire… Vos larmes coulent si facilement de tristesse lorsque vous pensez à lui.
C’est ce qu’il m’est arrivé il y a quelques années.
La mort de mon père : les 5 phases de mon deuil
- Le choc
Un soir d’été en 2015, une de mes soeurs reçut un coup de fil de l’hôpital de Bourges pour nous annoncer que mon père hospitalisé depuis plusieurs mois, ne passerait pas la nuit. Je vivais à des milliers de kilomètres à Nice à ce moment là, pas de train ni de vol pour pouvoir être au plus rapide au chevet de mon père. Je n’ai pu l’accompagner dans ses dernières heures de vie ni lui dire un dernier au revoir. Mon coeur était tombé ce soir là.
2. Le déni
J’arrivais le lendemain du décès, à Bourges. 10 jours sont passés avant l’enterrement et durant cette période, je n’arrivais pas à croire que mon père était mort. J’avais l’impression de vivre un mauvais rêve chaque matin au réveil. On allait le voir au funérarium comme si on allait le voir à l’hôpital. C’est lorsque que le cercueil a été scellé que je me suis rendue compte que je ne reverrai plus son visage et lorsqu’on a posé les premiers parpaings sur sa tombe, que mon père ne sera définitivement plus là.
3. La colère
Avec mes frères et soeurs, on s’est senti terriblement coupable d’avoir accepté une petite opération que l’hôpital nous proposait pour permettre à mon père de rentrer à domicile. Mon père, paralysé, avait du mal à parler, il nous avait fait comprendre qu’il ne voulait pas se faire opérer et il nous disait à plusieurs reprises qu’il allait mourrir après cette opération. C’est ce qu’il s’est passé et nous ne l’avions pas écouté. Nous furent en colère contre nous même, contre l’hôpital, pourquoi n’avait-il pas remarqué que l’état de santé de mon père n’était pas adéquat pour une opération ? Bien des questions, des sentiments d’impuissance, de regrets que nous ruminions ensemble et qui nous faisaient en réalité, souffrir davantage.
4. La tristesse
Vivre ce deuil a été très difficile. Reprendre une vie normale n’était pas le plus simple. Dans les premiers mois, je n’éprouvais aucun désir ni de joie à faire les choses ni manger de bon repas, je m’efforçais à faire des activités pour reprendre une vie normale. Tout m’avait l’air si fade. J’étais comme un fantôme au travail, j’avais l’impression de n’être plus en adéquation avec ce qu’il se passait, mon coeur était si triste. J’avais des moments où j’allais bien et d’autres moins, c’était les montagnes russes.
5. L’acceptation et la reconstruction
La seule façon pour moi de vivre ce deuil était de le vivre avec ses hauts et ses bas et de laisser au temps, le temps. Je parlais de mon père à mes proches lorsque je ressentais le besoin et je pleurais lorsque j’en avais envie, c’était ma façon à moi d’apaiser ma douleur et ça me faisait du bien. Je regardais également des documentaires sur la vie après la mort, les signes que les défunts pouvaient nous transmettre… cela m’aidait à comprendre ce qu’il se passait et à apaiser mon chagrin.
Soutenir ma mère m’aidait également, prendre du temps avec elle, l’appeler régulièrement, était une façon de partager notre douleur.
Les mois passaient, les larmes diminuaient petit à petit, ma vie continuait mais un vide inexplicable était toujours en moi.
Conseils pour surmonter votre deuil :
- Comprendre que la mort de votre proche était inéluctable face aux circonstances, accepter son départ
- Accepter votre vulnérabilité, vos propres émotions et les exprimer lorsque vous en avez envie
- Prendre du temps pour vous et éviter de vous laisser aller, cela pour garder le cap : vous faire belle, préparer des repas sains pour votre corps, faire du ménage…
- S’efforcer à faire des activités car c’est en faisant les choses qu’on retrouve la joie et non l’inverse, attendre de retrouver la joie pour faire les choses
- Parler à quelqu’un qui peut vous écouter, se faire aider par des thérapeutes, des associations d’entraide pour le deuil pour échanger
- Faire des rituels de deuil comme allumer une bougie, une prière lorsque vous pensez à votre proche
- S’informer sur la vie après la mort, témoignages, documentaires, films sur la mort
- Exprimer ses émotions à travers l’art : l’écriture, le dessin, la peinture…
Signes de l’haut-de-là ou coïncidences ?
Lorsque mon père a quitté ce monde, je me suis posée beaucoup de questions sur la mort : y a-t-il vraiment quelque chose après ? Je n’avais jamais vraiment réfléchi à la question et pour moi, la mort c’était le trou noir, tout s’éteignait simplement. Je pouvais croire aux âmes étant issue d’une famille pratiquant l’animisme (croyance aux esprits) mais je n’étais pas totalement convaincue d’un monde invisible.
Pourtant, il s’est passé des choses que je vivais et voyais de mes propres yeux, que je ne pouvais pas expliquer.
Les jours suivant le décès de mon père, j’avais une étrange impression de ressentir sa présence dans la maison comme s’il était avec nous, je ne savais pas si c’était moi qui ne voulais pas croire en son départ ou bien si son âme était vraiment parmi nous. Il se passait par ailleurs des choses que je ne pouvais pas expliquer par simple coïncidence.
Comme ce matin là, où un de mes frères et une de mes soeurs, ma mère et moi-même prenions la voiture pour nous rendre chez des cousins pour préparer les funérailles.
Nous découvrions sur le toit de notre voiture, un moineau posé, blessé à la patte (mon père avait des problèmes de marche à cause de sa maladie), chose qui ne nous est jamais arrivée depuis que nous habitions dans le quartier. Avec mes frères et soeurs, on se regardait dans les yeux sans dire un mot pendant quelques secondes, à ce moment là, j’ai senti qu’on avait tous pensé à la même chose mais qu’on n’osait pas se dire : « l’oiseau, c’est papa » …
Ma mère a poussé l’oiseau au sol, ayant pris cet étrange fait comme pouvant être une mauvaise augure, il ne fallait pas le toucher.
Ce qui était le plus troublant encore, c’est que la veille, un de mes cousins qui je pense possède des capacités médiumniques, nous avait fait part d’un rêve qu’il avait fait au sujet de mon père et de sa transition vers l’au delà : il voyait mon père en oiseau dans une cage métallique et ma mère essayait de le pousser…
Plusieurs semaines après cet évènement, je racontais cette histoire à une autre de mes soeurs qui n’était pas là ce matin là et cette dernière me confia qu’elle aussi, après les funérailles, avait également trouvé un oiseau posé à l’avant de sa voiture en rentrant du travail, un soir. Cet oiseau ne voulait pas prendre son envol même après avoir commencé à conduire, elle a du s’arrêter au bord de la route pour le faire partir… Quelle drôle de coincidence, n’est-ce pas ?
D’autres évènements étranges sont également survenus, j’étais intimement convaincue que cela ne pouvait pas être mon imagination car je n’étais pas la seule témoin. J’ai alors commencé à chercher des informations sur la vie après la mort pour comprendre, j’ai regardé des documentaires, vu des témoignages… et je me suis rendue compte que je n’étais pas la seule à croire en cela.
Mon corps avait gardé en mémoire ma tristesse
Je traversais mon chemin de deuil et je ressentais toujours ce vide intérieur chaque jour. Je ne savais pas ce que mon corps et mon énergie vitale me disaient. Je ne comprenais pas ce vide en moi ni d’où il venait. Ce n’était pas palpable ni explicable. Je vivais avec cet état et c’était devenu une habitude.
Un jour, je décidais de prendre cela en main en choisissant une méthode qu’on m’avait conseillée : l’acupuncture. Je bénéficiais de plusieurs séances par un homéopathe acupuncteur. Les résultats étaient satisfaisants mais furent brefs, mon sentiment de vide revenait.
Mon corps avait gardé en mémoire la tristesse de mon deuil. C’est lorsque j’ai commencé à m’intéresser à la médiumnité que j’ai progressivement trouvé les solutions pour surmonter mon deuil.
Mes préjugés sur la médiumnité
« C’est trop bizarre tu veux aller voir un médium ? C’est juste flippant, il y a des personnes qui parlent vraiment aux morts ? J’ai du mal à y croire… « .
Ce fut mon discours jusqu’au décès de mon père. Cela m’a toujours paru bizarre et morbide lorsqu’une personne me disait qu’elle souhaitait voir un médium*.
*Médium : désigne une « personne pouvant servir d’intermédiaire entre les Esprits et les hommes » et la médiumnité désigne l’ensemble des facultés spécifiques aux médiums. (Allan Kardec – Le livre des médiums)
J’associais la médiumnité à la mort, aux esprits, aux fantômes… aux maisons hantées. C’est un milieu qui ne me parlait pas et qui me faisait même un peu peur. Je ne voulais pas « réveiller les morts ».
Lorsque mon père est parti, je commençais à m’éveiller à la spiritualité mais le monde de la médiumnité n’était pas un sujet qui m’intéressait particulièrement. Je savais qu’il y avait un « après » et cela me suffisait pour vivre mon deuil.
Un an après le départ de mon père, je recevais un sms d’une association qui organisait des évènements en lien avec l’éveil et la spiritualité, proposant une séance de médiumnité en salle avec un médium près de chez moi. Ce sms avait suscité en moi une certaine curiosité et une envie d’avoir des réponses à des questions que je me posais :
- Où était réellement son âme ?
- Est-ce qu’il est encore parmi nous ?
- Est-il bien là où il est ? Va-t-il se manifester ?
J’étais curieuse mais à la fois, je n’osais pas y aller à cause de l’image que j’avais de la médiumnité et des médiums. Avec beaucoup d’hésitation, je décidais de franchir le pas. J’ai proposé à mon compagnon de m’accompagner (et ainsi me donner du courage à le faire) et il accepta.
Les barrières qui peuvent vous freiner l’envie d’aller voir un médium :
- La peur d’être ridicule, peur d’être jugé, le regard des autres
- Méconnaissance de la médiumnité comme potentiel levier de guérison du deuil
- Non croyance d’une vie après la mort
- Les préjugés liés aux médiums (charlatans, arnaques…)
- Les peurs générés par les films d’épouvante (attaque de fantôme, possession…)
- Une société marquée par une culture athéiste (« je ne vois que ce que je crois ») et par l’ancrage de la religion chrétienne dans l’histoire occidentale
- Besoin d’approbation scientifique et sociétale pour croire en certaines théories, concepts
- Refus de voir et accepter l’inexpliqué
- Pas de reconnaissance de la médiumnité au sein de la société
Médiumnité en salle : une expérience bouleversante
J’ai assisté pour la première fois de ma vie à une séance de médiumnité en salle et ce fut une expérience « incroyable ».
J’étais stressée en y allant car c’était vraiment l’inconnu pour moi, je ne savais pas comment cela allait se passer et si j’allais recevoir un message ou non. On s’était assis à l’arrière de la salle, un peu timide. On était une bonne cinquantaines de personnes ou plus ce jour-là. Le médium commença la séance en se présentant et en parlant de son histoire, il était apparemment connu. Il commença à se connecter aux personnes dont il sentait la présence et il donna des communications.
C’était un moment profondément touchant. Mon compagnon et moi-même fûmes totalement épatés par la prestation du médium. J’étais bluffée par toutes les informations qu’il avait transmises au public : des personnes comme moi qui ont perdu un parent, un enfant, un frère, un conjoint, une grand-mère… Cette séance avait un côté « spectacle » et en même temps, un côté si thérapeutique pour tous. Je ressentais le stress, le coeur serré et l’espoir des personnes en attente d’un message, j’ai vu des larmes coulées mais aussi de la joie sur leurs visages, c’était puissant émotionnellement.
Malheureusement, il n’a pu répondre aux attentes de tous mais il proposa une opportunité à certaines personnes de poser une question.
La mienne fut (à l’époque, je ressentais une présence dans mon nouvel appartement et des phénomènes étranges se passaient) :
« Est-ce que mon père m’envoie des signes ? »
Le médium me répondit : « un oiseau, ça vous parle ? »
Je fus choquée, j’avais oublié l’épisode de l’oiseau…incroyable, n’est-ce pas ?
Cette séance fut un moment très intense et très impressionnant. J’étais repartie un peu déçue de n’avoir pas eu une véritable communication mais à la fois heureuse d’avoir eu cette réponse et d’avoir vécu un si beau moment. J’ai compris ce jour-là que la médiumnité n’était pas seulement une expérience de fantômes ni d’esprits mais une expérience profondément humaine et thérapeutique.
Cette expérience a complètement changé la vision que j’avais des défunts, de la médiumnité et des médiums.
Plusieurs mois se sont écoulés après cet évènement et malgré tout, je continuais à ressentir cette tristesse au fond de moi. Une personne manquait à ma vie. Il suffisait que je croise une personne qui ressemblait à mon père, pour qu’une larme coule. Malgré le temps qui passait, je ressentais encore ce vide inexplicable.
La médiumnité m’a guéri
Un an et demi après le décès de mon père, nous assistions mon compagnon et moi à un salon bien-être et parapsychique. Des conférences étaient au programme, je m’apprêtais à assister à une conférence sur le thème du Feng Shui mais pris de confusion, mon compagnon et moi, nous nous sommes retrouvés dans une conférence sur la médiumnité. Le médium est arrivé, s’est présenté et proposa aux auditeurs de lui transmettre une photo de leur proche défunt en la posant sur sa table afin d’établir quelques communications.
Mon compagnon me demanda si j’avais une photo de mon père, je répondis « oui, j’en ai toujours une sur moi« .
Le fait est que je n’osais pas la donner au médium. Je ne savais pas, je n’étais pas prête psychologiquement, je me disais également que j’avais peu de chance que mon père se présente comme la fois précédente.
Mon compagnon insistait et me disait « vas-y!!! ». J’étais partagée entre le oui et le non et soudain, je me levais de ma chaise et je posais la petite photo d’identité de mon père sur la table du médium comme une intuition.
Un message inattendu
Le médium commença sa séance en montrant les photos des défunts présents. Jusqu’au moment où le médium montra la petite photo d’identité de mon père :
« J’ai ce monsieur ici, à qui appartient cette photo? »
Mon coeur s’est mis à battre très fort, j’ai levé timidement ma main pour dire « oui c’est moi« , j’étais complètement stressée et pétrifiée.
Le médium m’a alors transmis de nombreuses informations sur la vie de mon père, sa personnalité, sa maladie, l’hôpital, des informations qu’il ne pouvait pas savoir, c’était extraordinaire. C’était mon père, je le reconnaissais à travers les mots, expressions exprimés par le médium mais aussi parce que je ressentais sa présence et son énergie. Les minutes s’écoulaient au fur et à mesure de la communication, j’étais si heureuse d’avoir la présence de mon père, je ne voulais pas que ça se termine.
Le médium termina par un message que mon père souhaitait me transmettre :
« je ne te l’ai jamais dit du temps de mon vivant à cause des traditions mais je t’aime ma fille«
J’étais effondrée. Ce message pouvait paraître banal et classique mais cela avait du sens et une grande importance pour moi.
C’était extraordinaire, j’ai pleuré de tristesse, de joie, j’avais le coeur rempli de réconfort, c’était l’un des moments les plus magiques que j’avais vécu de ma vie. J’étais heureuse de savoir que mon père était bien passé de l’autre côté et qu’il allait bien, c’était pas grand chose mais cela me rassurait énormément.
Fin du deuil
Depuis cet évènement, j’ai ressenti un véritable changement s’opérer en moi, je me ressentais revivre de l’intérieur : mon deuil était terminé, je n’éprouvais plus aucune tristesse ni de peine lorsque je pensais à mon père ni quand je parlais de lui. J’étais apaisée. Mon coeur savait qu’il était toujours là et qu’il allait beaucoup mieux.
Son message d’amour avait résorbé cette part de tristesse en moi. Ce vide que je n’arrivais pas à expliquer, était bien plus profond que ce que je ne pensais.
Mon corps, mes cellules avaient enregistré en mémoire l’empreinte de la tristesse du deuil.
Une empreinte énergétique qui amplifiait ce qui était déjà ancré en moi, une blessure d’enfance, un besoin profond d’être aimé par mon père. Il a suffit d’un message, d’une énergie d’amour pour me sentir à nouveau et pleinement moi-même.
Je vivais une libération intérieure, une légèreté que je n’avais pas ressentie depuis longtemps. J’étais nourrie d’amour et de joie grâce à cette communication. Ce contact médiumnique m’avait guéri.
Jamais je n’aurais pensé à consulter un médium en raison de mes préjugés et de mes peurs. J’ai découvert un milieu fascinant, touchant et profondément humain.
Bénéficier d’un « contact avec un proche défunt » fait tellement de bien notamment lorsque notre proche nous manque profondément. On se sent à nouveau en connexion avec son énergie et c’est juste magique, c’est comme revivre des retrouvailles (rappelez-vous de la scène finale de Ghost)
Comment je suis devenue médium ?
Ironie du sort, je suis devenue médium ! Après ces fabuleuses expériences avec la médiumnité, j’ai continué mon chemin dans la spiritualité et j’y ai découvert une véritable passion. Jusqu’au jour où lors d’une guidance, on me dit que la spiritualité n’était pas seulement qu’un loisir pour moi mais également mon chemin.
C’était difficile à croire car je n’avais aucunes capacités particulières hormis mon intuition du quotidien et quelques rêves que je faisais.
Cette information était restée dans le coin de ma tête. Je venais de m’installer à Malte et je cherchais des activités à faire et je suis tombée sur un atelier intuition organisée par une médium.
J’ai découvert dans cet atelier à travers les oracles que j’avais de bon ressentis et cela m’avait plu. J’avais envie d’aller plus loin et la seule opportunité possible à ce moment là était de participer à un atelier médiumnité organisé par une association. J’avoue avoir beaucoup hésité à y aller car « contacter les défunts » n’étaient pas forcément ce que j’avais envie d’explorer car j’avais tout de même peur des esprits et je ne me voyais pas communiquer avec les défunts.
Finalement, j’y suis allée pour découvrir et là, ce fut extraordinaire, je n’ai pas eu peur, c’était presque naturel de ressentir les choses, de les décrire, de les transmettre. Ce qui était fabuleux c’est que j’étais capable de lire l’aura des personnes, de voir les esprits (de manière débutante) alors que j’étais complètement novice. La plupart des participants de l’atelier qui étaient comme moi, ont également réussi à percevoir des choses. J’ai compris que tous pouvaient développer leurs capacités psychiques. Depuis cet atelier, j’ai eu une très forte envie de développer davantage mes capacités et c’est ce que j’ai fait tout au long de ces dernières années, je me suis formée auprès de grands médiums internationales, enseignants dans l’une des plus grandes écoles de médiumnité : le Collège Arthur Findlay.
Aujourd’hui, j’aide à mon tour les personnes en deuil en leur transmettant des messages de leur proche défunt. Je peux les ressentir, les voir, les entendre… alors qu’il y a 5 ans, je découvrais la médiumnité en salle. N’est-ce pas fabuleux ?
Si vous souhaitez que je vous aide à surmonter un deuil ou si vous souhaitez entrer en contact avec l’un de vos défunts, je me tiens à votre disposition pour une séance à distance.
Allez au delà de vos peurs et préjugés, osez l’expérience et soulagez votre peine en recevant une communication de votre proche défunt. Je vous invite à prendre rendez-vous en cliquant ici.
Si vous voulez savoir comment se déroule une séance avec moi, vous retrouverez ici tous les détails.
Au plaisir de vous rencontrer,
Mai – Médium Thérapeute
Sources : Les 5 étapes du Deuil – Elisabeth Kübler-Ross
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